L’exécution de sanctions en milieu ouvert implique une présence, un suivi, des conseils et une assistance de la part des agents du service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP). Afin d’être efficaces, les effectifs d’agents doivent être en nombre suffisant, mais on constate que cette recommandation européenne est en décalage avec le système d’affectation français.
Outre-Atlantique, des expérimentations prometteuses indiquent qu’une diminution de la charge de travail par agent du SPIP mènerait à une diminution des risques de récidive.
Cela s’explique par la mise en place d’un accompagnement plus individuel de chaque condamné permettant une diminution de la charge de stress des agents concernés.
Le travail d’Elliot Louan propose une revue de la littérature concernée et des pistes de réflexion s’appuyant sur les données probantes.
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