Du Désordre et de la délinquance: Réflexions sur l’importation de la théorie de la vitre brisée en France, CAHIERS PARISIENS, No. 2 2006 (2006).
B. HARCOURT (2006) Du Désordre et de la délinquance: Réflexions sur l’importation de la théorie de la vitre brisée en France
février 9th, 2012 | Publié par dans CRIMINOLOGIE CRITIQUE - (0 Commentaire)HARCOURT (2011) Surveiller et punir à l’âge actuariel, Généalogie et critique
février 2nd, 2012 | Publié par dans CRIMINOLOGIE CRITIQUE | Non classé - (0 Commentaire)Bernard HARCOURT (2011) Surveiller et punir à l’âge actuariel, Généalogie et critique
déviance et société 2011, vol. 35, n°1, pp. 5-33
Bernard Harcourt
Les méthodes actuarielles pénètrent aujourd’hui la sphère pénale des États-Unis. À la seule exception du profilage racial des Africains-Américains et des Hispaniques, la majeure partie de la population considère que l’adoption des méthodes actuarielles est efficace, rationnelle et rentable. Bernard Harcourt met en question ce consensus naissant en prônant, dans la sphère pénale, l’échantillonnage aléatoire: la randomisation dans le maintien de l’ordre. C’est la seule façon d’obtenir une sphère carcérale qui reflète impartialement et ressemble réellement à la distribution des personnes commettant des délits. Donc, dans le droit pénal et son application, c’est sur la prédiction que les interrogations devraient porter.
Dans le premier article, B. Harcourt trace une généalogie des méthodes actuarielles aux États-Unis. Dans le second article, B. Harcourt démontre mathématiquement les effets contre-productifs du profilage et des méthodes actuarielles
Programs for Criminal Offenders (2007 – Washington, D.C.)
février 2nd, 2012 | Publié par dans INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)“Programs for Criminal Offenders” is part of the “DC Public Safety” television series.
The program is offered by the Court Services and Offender Supervision Agency, a federal executive branch entity in Washington, D.C.
The program is hosted by Leonard Sipes.
“Programs for Criminal Offenders” interviews offenders and experts as to what works to regarding treatment programs.
What Works: Evidence-Based Practices in Community Corrections (2010)
février 2nd, 2012 | Publié par dans INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)“What Works: Evidence-Based Practices in Community Corrections” is part of the” DC Public Safety” television series.
This show provides an overview of “what works” in community corrections through an examination of research-based practices. Participants include:
Nancy G. LaVigne, Ph.D. Director, Justice Policy Center, The Urban Institute Thomas Williams, Associate Director, Court Services and Offender Supervision Agency Debra Kafami, Ph.D, Executive Assistant, Court Services and Offender Supervision Agency
The program is offered by the Court Services and Offender Supervision Agency, a federal executive branch entity in Washington, D.C.
The show is hosted by Leonard Sipes. Timothy Barnes is the Producer.
Series Meta terms: Criminal, Justice, what, works, drug, treatment, educational, vocational, assistance, employment, interviews, policy, makers, staff, probation, parole, reentry
Police, Parole and Probation Supervision (2010 – Washington, D.C.)
février 2nd, 2012 | Publié par dans INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)« Police, Parole and Probation Cooperation » provides an overview of inter agency cooperation between the Court Services and Offender Supervision Agency (CSOSA) and the Metropolitan Police Department (MPD) of Washington, D.C.
RTS (2008) Dans la tête d’un pédophile
janvier 31st, 2012 | Publié par dans AICS | MULTIMEDIA - (0 Commentaire)Vidéo RTS (09 avril 2008) Dans la tête d’un pédophile
Les pédophiles sont-ils des malades mentaux ? Peut-on les soigner ? Quels traitements pourraient être efficaces ? Au Canada, plusieurs structures proposent des programmes thérapeutiques pour les délinquants sexuels. A Montréal, l’Institut Philippe Pinel, hôpital psychiatrique à sécurité maximum est le premier à avoir mis en place un traitement spécifique aux délinquants sexuels. Ce programme est aujourd’hui une référence internationale. Les patients sont soumis à l’observation quotidienne de l’équipe soignante et suivent une thérapie intensive, essentiellement basée sur la thérapie cognitive et comportementale. A travers des témoignages forts et émouvants de pédophiles qui nous racontent leur parcours, nous rentrons dans l’univers de ces hommes. Les interviews des thérapeutes de l’hôpital permettent de mieux comprendre ces témoignages et comment on peut arriver à modifier le comportement des pédophiles. Les images du service de l’hôpital montrent bien comment le travail thérapeutique est réalisé avec ces détenus et quelles sont les limites de ce traitement.
WYVEKENS (1999) « Les groupes locaux de traitement de la délinquance »
janvier 23rd, 2012 | Publié par dans PROBATION | Recherche - (0 Commentaire)Anne Wyvekens , LE SOUCI DU TERRITOIRE, « Les groupes locaux de traitement de la délinquance »
Les Annales de la Recherche Urbaine n° 83-84, 0180-930-IX-99/83-84/p. 81-88
LES GROUPES LOCAUX DE TRAITEMENT DE LA DELINQUANCE
Depuis le rapport Bonnemaison, de Conseils communaux de prévention de la délinquance (CCPD) en maisons de justice, de «justice de proximité» en «politique judiciaire de la ville», la justice a peu à peu fait sien le double enjeu, local et partenarial, des politiques de la ville. Si elle n’est entrée qu’avec circonspection dans la dynamique collective initiée par les CCPD, si son premier investissement de proximité est demeuré dans un premier temps très «immobilier» avec les maisons de justice, les deux idées ont progressivement fait leur chemin, au travers de divers dispositifs. Les « groupes locaux de traitement de la délinquance » (GLTD), expérimentés puis développés dans le ressort du tribunal de Bobigny, innovent par exemple aussi bien sur le plan de l’agencement du partenariat que sur celui de la façon d’intervenir sur un site. Les rapports entre les partenaires évoluent de façon telle, dans ces groupes, que la production de ceux-ci s’en trouve infléchie : avec les GLTD, au lieu de « traiter la délinquance», l’institution judiciaire s’engage, avec ses partenaires non pénaux, dans une démarche consistant à s’intéresser à l’espace. Pour l’expliciter, nous avons mobilisé, avec Jacques Donzelot, les notions de «magistrature sociale» et de «souci du territoire».