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Archives de l'auteur : crisostome

Paul Roger GONTARD (2010) Le régime ouvert de détention peut-il être étendu dans le champ pénitentiaire français ?

« Le terme « établissement ouvert » désigne un établissement pénitentiaire dans lequel les mesures préventives contre l’évasion ne résident pas dans des obstacles matériels tels que murs, serrures, barreaux ou gardes supplémentaires. » Congrès Pénal et Pénitentiaire International de La Haye, Août 1950. Ce modèle d’établissement pénitentiaire fut le premier sujet d’étude du Congrès des  Nations Unies en matière de prévention du crime et de traitement des délinquants -Genève, 1955. Depuis, de nombreux pays ont largement utilisé ce modèle dans leurs systèmes  pénitentiaires nationaux. Bien que la France ait connu plusieurs expériences de ce régime, elle ne possède aujourd’hui qu’un seul établissement qui puisse encore répondre à cette définition.

http://gontard.fr/

ALLAN WEAVER (2008) « So You Think You Know Me? »

février 25th, 2012 | Publié par crisostome dans DESISTANCE | Non classé - (0 Commentaire)

« So You Think You Know Me? » was first published on the 19th June 2008 and officaly launched at Glasgow School of Social Work.

So You Think You Know Me? ALLAN WEAVERAs a local hard case, author Allan Weaver took no prisoners. Neither does he in this compelling work in which he tells of a life of violent episodes and chaotic early life. Teachers, social workers and ‘authority figures’ never tried ‘to get to know him’ to unearth the clues and triggers and discover what his offending was all about. A natural rebel and a radical, it is hardly surprising that by ignoring the real Allan Weaver this led to an escalation of his violent activities, tensions between family and friends and dubious associates.

So You Think You Know Me? is packed with contradictions: the Allan Weaver involved in mayhem and aggression is not the one telling the story from inside his own head: an often vulnerable, sensitive, articulate, unquestionably loyal and even-handed individual; mistaken, misguided and foolish perhaps but largely trapped by an increasing need to live up to his ‘tough guy’ reputation.

That there can be any tidy ending to this graphic true-life account of approved school, assessment centres, care homes, borstal and Glasgow’s notorious Barlinnie Prison is quite remarkable yet Allan Weaver survived to obtain a degree from Strathclyde University and to work on the inside of the Criminal Justice System with young people who, like he was, are in trouble with the law. The punches that he now throws are directed towards the shortcomings of a system which he believes is failing to do all that it could to turn them away from crime and anti-social behaviour as he explains in this heartfelt autobiography.As a local hard case, author Allan Weaver took no prisoners. Neither does he in this compelling work in which he tells of a life of violent episodes and chaotic early life. Teachers, social workers and ‘authority figures’ never tried ‘to get to know him’ to unearth the clues and triggers and discover what his offending was all about. A natural rebel and a radical, it is hardly surprising that by ignoring the real Allan Weaver this led to an escalation of his violent activities, tensions between family and friends and dubious associates.

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David R. Dow on TED Talks (fevrier 2012) Leçons apprises des détenus qui attendent d’être exécuté

« It’s not yet too late [for juvenile delinquents]. There’s still time to nudge them, if we think about nudging them rather than just punishing them.” (David R. Dow)

Que se passe-t-il avant un meutre ? En cherchant des façons de réduire les cas de peine de mort, David R. Dow s’est rendu compte qu’un nombre surprenant de détenus dans le couloir de la mort avaient des biographies similaires. Dans son intervention, il propose un plan audacieux, qui commence par empêcher que les meutres soient commis. (Filmé à TEDxAustin.)

David R. Dow has defended over 100 death row inmates in 20 years.

 FRANCE CULTURE (29.08.2007) Emission « Le bien commun »: Le traitement des délinquants sexuels en prison

La délinquance sexuelle revient sur le devant de la scène, jusqu’à susciter une réunion extraordinaire entre ministres de la santé, de la justice et le Président de la République, pour empêcher ou tout au moins de prévenir la récidive par des mesures nouvelles. Au-delà de l’émotion suscitée par le dernier fait divers et les annonces qui lui ont fait suite, un arrêt s’impose sur l’univers carcéral où les agresseurs, une fois condamnés, purgent leur peine et s’engagent pour la plupart vers la promesse d’un traitement. Pour autant, peut-on traiter les délinquants sexuels en prison ? Avec quels moyens, quels obstacles et quelles chances de réussite dans la perspective d’une sortie ?

 Invité(s) :

Sophie Baron Laforet
Pierre Lemoussu

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FRANCE CULTURE (03.07.2010) Emission « Concordance des temps »: Les bandits imberbes: délinquance juvénile et angoisse sociale

Avec Jean-Jacques Yvorel.

« Le plus grand danger social, c’est le bandit imberbe »

Archives sonores:

 gavroche1) Interview de Jean-Pierre Chevènement sur France Inter, 10 mars 1998.

2) Daniel Pouget, depuis le quai des Orfèvres sur le « Gang des culottes courtes », 11 janvier 1961.

3) Interview d’un juge d’enfants sur les raisons de la délinquance juvénile, par Clara Candiani, Paris vous parle, 27 aoüt 1960.

4) Patachou interprète en 1955 « le gamin de Paris » à l’Olympia, chanson de Mick Michel et Mares, Polygram.

5) Evocation de « Gavroche » à travers les siècles par Maurice Chevalier, 26 avril 1940, archives 78 tours de la discothèque de Radio France.

6) Chant d’apaches d’Aristide Bruant par Marc Ogeret, Vogue.

7) Les frères Jacques interprètent « La chasse à l’enfant », poème de Jacques Prévert, mis en musique par Joseph Kosma (enregistrement de 1957, Polygram).

8) Interview de Robert badinter, dans l’émission télevisée « Face à la trois », 4 octobre 1985.

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FRANCE CULTURE (02.04.2008) Emission « Le bien commun »: La rétention de sûreté

Invité(s) :
Henri Leclerc
Paul Cassia

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FRANCE CULTURE (07.08.2010 ) Emission « Concordance des temps »: La récidive : une obsession de toujours ?

Avec l’historien Michel Porret, professeur à l’université de Genève. Après avoir été Visiting fellow researcher à l’Université de Princeton (1990-1991), il soutient en 1992 sa thèse à celle de Genève : « Le crime et ses circonstances. De l’esprit de l’arbitraire au siècle des Lumières selon les réquisitoires des procureurs généraux de Genève », Genève, 1995 (Prix Montesquieu 1995, Académie Montesquieu de Bordeaux). Parmi environ 160 publications consacrées à ses champs actuels de recherche (Etat moderne, criminalité et justice, « médecine judiciaire », culture politique des Lumières, Montesquieu, Rousseau, histoire de la censure, etc.), il a publié une quinzaine d’ouvrages et organisé ou co-organisé autant de colloques internationaux dans le cadre de la Faculté des Lettres et du Département d’histoire. Il a notamment publié Sur la scène du crime (Presses de l’université de Montréal, 2008) et il a dirigé avec Françoise Briegel, Le criminel endurci : récidive et récidivistes du Moyen Age au XXe siècle (Droz, 2006).

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