Probation staff do valuable and diverse work, making sure that some of the most dangerous offenders released back into the community are properly monitored and reintegrated into society.
Probation works! (UK) – Présentation des services de probation anglais –
novembre 29th, 2012 | Publié par dans MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)Probation Professional Judgement Project (UK)
novembre 27th, 2012 | Publié par dans INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | Non classé | PROBATION - (0 Commentaire)Surrey and Sussex Probation Trust (SSPT) has paved the way for an innovative new way of working announced by the Ministry of Justice.
SSPT was chosen to pilot a project which allows probation officers to exercise more professional judgement when managing cases.
The pilot was such a success that the new working model will be rolled out across England and Wales. Revised Probation National Standards have been published on the Ministry of Justice website and will be implemented over the next year. Previously probation officers had instructions on exactly how frequently they should meet with and assess offenders. The new National Standards allow frontline probation staff to manage their work with offenders as the risks of each case demands, using their knowledge and drawing on their professional training and experience
SSPT chief executive Sonia Crozier said: « The pilot showed that staff had more purposeful and better focussed contact with offenders when they were allowed to exercise their professional judgement in deciding how to work with each individual. « We were delighted to be chosen by the Ministry of Justice to pilot this important initiative. It shows that we are recognised as a trust which can deliver results which improve the probation service for offenders and the public alike. »
A Ministry of Justice spokesman said: « We are committed to allowing frontline staff to better use their judgement and professional skills to cut reoffending and protect the public. « Offender managers must be able to focus their work on the most serious offenders, they should not be spending their time on tick-box exercises. « The new standards will remove the unnecessary proscription and red tape that restricts frontline decision making. »
SSPT has made a video with staff explaining just how the Professional Judgement Project has made a difference, which you can watch below.
Surrey & Sussex Probation Trust (SSPT) was chosen to pilot a new way of working for the probation service in place of the old National Standards, which dictated minimum requirements for offender contact and risk assessments. The new method provided offender managers with more freedom to exercise their professional judgement in managing offenders. After the successful pilot the new way of working has been extended nationally. In this video SSPT staff explain how the new freedoms have enabled them to better engage with offenders and cut out red tape.
IRISS (2012) The Road from Crime
novembre 12th, 2012 | Publié par dans DESISTANCE | MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)The Institute for Research and Innovation in Social Services (IRISS) (UK)
Ce film a été produit dans le cadre d’un projet visant à partager les connaissances que l’on a des raisons qui poussent certains à abandonner le crime et à en améliorer la compréhension. Pour en savoir plus sur le projet dans son ensemble et pour pouvoir commenter le film, visitez le blog Discovering Desistance.
Le projet est financé par l’Economic and Social Research Council et l’université George Mason. Le responsable de projet est Fergus McNeill (Scottish Centre for Crime and Justice Research, Université de Glasgow), le reste de l’équipe étant composé de Stephen Farrall (université de Sheffield), Claire Lightowler(Institute for Research and Innovation in Social Services) et Shadd Maruna (Institute of Criminology & Criminal Justice, université Queen’s de Belfast).
Télécharger le film
Articles:
A qui la responsabilité de la réhabilitation et de la réinsertion? (Fergus Mc Neill 2012)
How and why people stop offending (Comment et pourquoi on ne récidive pas).
A desistance paradigm for offender management (Fergus Mc Neill 2006)
Changing Lives? Desistance Research and Offender Management (Fergus McNeill & Beth Weaver)
FRANCE CULTURE (2012) La prison
octobre 25th, 2012 | Publié par dans MULTIMEDIA | PRISON - (0 Commentaire)EMISSION La Fabrique de l’Histoire, par Emmanuel Laurentin ,
Semaine consacrée à la prison (22, 23, 24, 24 octobre 2012)
Premier temps d’une nouvelle semaine de la Fabrique de l’histoire, au lendemain des Rendez-Vous de l’histoire de Blois où nous avons eu le plaisir de rencontrer de très nombreux auditeurs et de discuter avec eux des formes et thèmes de nos émission. Merci donc à tous .
Demain , le documentaire d’Anaïs Kien et Françoise Camard nous racontera la mémoire des prisons St Paul et St Joseph de Lyon, et les souvenirs d’anciens détenus à l’heure où ces lieux pénitentiaires se transforment en locaux universitaires.
Mercredi nous nous demanderons quel rapport il y a entre un camp de prisonniers de guerre et la prison.
Jeudi nous débattrons de l’éternelle question de la réinsertion des anciens détenus.
Nous recevons ce matin Gilbert Azibert. Gilbert Azibert a occupé différents postes de magistrats du siège et du parquet, a été secrétaire général du ministère de la justice avant d’être nommé premier avocat général à la cour de Cassation.
Mais ce n’est pas en raison de ces postes-là de magistrats que nous l’avons convié à nous parler ce matin. Gilbert Azibert a en effet trois ans directeur de l’administration pénitentiare de 1996 à 1999 et a dû, à ce titre, réfléchir à diverses évolutions dans les prisons françaises.
Il nous en parlera et sera rejoint, comme chaque lundi à 9 h 30, par son invité, Emmanuel Rebeillé-Borgela, adjoint au directeur de l’administration pénitentiaire de 1993 à 2000 qui complétera son témoignage et son analyse.
Gilbert Azibert, premier Avocat général à la Cour de cassation. En 2005, il a été procureur général près la cour d’appel de Bordeaux. Il fut Secrétaire général du ministère de la justice et des libertés (2008-2010), directeur de l’administration pénitentiaire de janvier 1996 à janvier 1999, président de la Chambre d’accusation à la cour d’appel de Paris (1999-2002), et directeur de l’École nationale de la magistrature (2002-2005), qui nous présentera, à 9 heures 30, son invité à lui avec lequel nous poursuivrons la discussion sur cette histoire de l’administration pénale.
« Au revoir les yoyos », un documentaire d’Anaïs Kien, réalisé par Françoise Camar
Djamel Touhami et Dédé Boiron s’égarent dans les couloirs de la prison St Paul-St Joseph. Les deux anciens détenus comptant respectivement 35 et 17 ans cumulées de diverses peines d’enfermement visitent une dernière fois les couloirs et les cellules qu’ils ont fréquentées durant toutes ces années. Les cellules sont grandes ouvertes, les murs lépreux, dans les sous-sols on patauge dans les flaques d’eau laissées par le ruissellement pluviale en quête de ce qui a été mais que l’on ne regrette pas. Lors des Journées du Patrimoine 2012 les visiteurs, voisins, curieux, familles d’anciens prisonniers se pressent devant l’enceinte du bâtiment désaffecté où l’on peut enfin l’endroit où vivaient ceux que l’on entendait des quais de la gare de Lyon-Perrache, en passant dans la rue ou de sa fenêtre, se livrer au fameux « parloir sauvage ». L’établissement pénitentiaire fermé depuis trois ans est désormais destiné à devenir le nouveau campus de l’Université catholique et l’on ouvre ses portes une dernière fois, en l’état, avant de transformer ce lieu d’enfermement en un lieu de connaissance et d’émancipation. Visite particulière aux côtés des anciens prisonniers.
Avec Djamel Touhami, André Boiron, Bernard Bolze, Christian Carlier, Eugène Lampion et les visiteurs.
Les prisonniers de guerre (Valentin Schneider et Fabien Théofilakis)
Valentin Schneider, doctorant au centre de recherches d’histoire quantitative de l’université de Caen
Fabien Théofilakis, lauréat du Prix de la meilleure thèse 2011 attribué par l’Université franco-allemand pour sa thèse sur les « prisonniers de guerre en mains françaises (1944-1949) : captivités en France, rapatriement en Allemagne », ATER à l’Université de Paris Ouest Nanterre – La Défense
Histoire de la réinsertion
Jean-Jacques Yvorel, docteur en histoire et enseigne à l’École nationale de protection judiciaire de la jeunesse (ENPJJ), chercheur associé au Centre de recherche en histoire du XIXe siècle (Universités de Paris 1 et Paris 4) et au Centre de recherches sociologiques sur les droits et institutions pénales (CESDIP), spécialiste de l’histoire des déviances juvéniles et de leurs traitements sociaux ou judiciaires.
Jean-Marie Gueullette, directeur du Centre Interdisciplinaire d’Ethique à l’Université catholique de Lyon, docteur en médecine et en théologie.
Denis Salas, magistrat, chargé de formation et de recherche à l’École nationale de la magistrature et secrétaire général de l’Association pour l’histoire de la justice.
Alexis Saurin, président de la Fédération des Associations Réflexion-Action prison Et Justice – FARAPEJ
EUROPE1 (22/09/12) La lutte contre la récidive : ce qui marche ou pas à l’étranger
octobre 12th, 2012 | Publié par dans INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | PROBATION - (0 Commentaire)Les carnets du monde – 22/09/12
Une heure de plus pour voir, entendre, écouter le monde changer grâce aux nombreux correspondants d’Europe 1 à travers la planète.
La lutte contre la récidive : ce qui marche ou pas à l’étranger
Alors que Christiane Taubira, la Garde des Sceaux défend une nouvelle politique pénale qui s’éloigne du « tout carcéral » qu’en est-il à l’étranger ? Parmi les solutions déjà éprouvées, il y a ce qu’on appelle la « justice restauratrice » en Grande Bretagne. Au Brésil, une mesure « Rémission contre lecture » est en train d’être expérimentée. A l’inverse de l’évolution de la France, l’Espagne s’apprête à durcir son code pénal. Et en Californie, la lutte contre la récidive répond à une logique de « tout répressif » avec notamment la loi des « three strikes. »
– Interview de Denis Lafortune, professeur de l’Ecole de criminologie de l’Université de Montréal et membre de la Conférence de Consensus installée par Mme Taubira.
– Reportage d’Anissa el Jabri à Londres.
– Reportage de Lamia Oualalou, correspondante d’Europe 1 à Rio.
– Reportage de Henry de Laguérie, correspondant d’Europe 1 à Barcelone.
– Le décryptage de notre consultante US Nicole Bacharan au sujet de la loi des « three strikes » en Californie.
http://risk.assessment.free.fr/wp-content/files/Les-carnets-du-monde-22-09-12-recidive.mp3
FRANCE CULTURE (2012) Parler de la récidive autrement : la conférence de consensus
septembre 30th, 2012 | Publié par dans articles | MULTIMEDIA - (0 Commentaire)FRANCE CULTURE (27/09/12) Emission « Le bien commun » d’Antoine Garapon: Parler de la récidive autrement : la conférence de consensus; Invitée : Nicole Maestracci
La Garde des sceaux a réuni le 18 septembre dernier une conférence de consensus sur la prévention de la récidive. Mais qu’est-ce au juste qu’une conférence de consensus ? Comment se déroule-t-elle, et surtout qu’apporte-t-elle par rapport à la traditionnelle commission réunissant des experts ? Est-ce une manière plus ouverte de faire le point sur des savoirs et des pratiques ? Inaugure-t-elle une nouvelle séparation du savoir et des pouvoirs dans nos démocraties ? S’agit-il d’une procéduralisation de la connaissance ? Probablement est-ce tout cela à la fois !
C’est avec Nicole Maestracci, la Présidente du conseil d’organisation de cette conférence de consensus que nous allons tenter de nous familiariser avec cette pratique.
RTS (2012) La psychiatrie en milieu carcéral
septembre 25th, 2012 | Publié par dans DANGEROSITE | INTERNATIONAL | MULTIMEDIA | PRISON | PSYCHIATRIE MEDICO-LEGALE - (0 Commentaire)RTS.CH – Emission 36.9° du 18 janvier 2012 –
Dans notre société dite évoluée, quand on commet un délit grave, on est condamné et le cas échéant, on va en prison. Et quand on est psychiquement malade, on est soigné, voire hospitalisé pour recevoir des soins adéquats. Mais voilà, quand un individu commet un acte répréhensible à cause d’une maladie psychiatrique, la limite entre la prison et l’hôpital devient beaucoup plus floue. Le code pénal prévoit pourtant des mesures thérapeutiques institutionnelles qui permettent à ces prisonniers un peu particuliers d’être soignés et d’éviter ainsi les récidives. Seul problème: les lieux appropriés en Suisse romande n’existent tout simplement pas. Notre équipe a suivi le parcours d’un jeune homme, prisonnier et schizophrène, qui a accumulé des mois de prison pour rien, faute de structure.
Un reportage d’Isabelle Dufour et de Ventura Samarra
La psychiatrie en milieu carcéral – rts.ch – émissions – 36.9°.