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FRANCE CULTURE (14/09/2017)  Pourquoi il faut relire « Surveiller et punir » de Michel Foucault

Que nous apprend la relecture de « Surveiller et punir » ? Des réformes et des alternatives sont aujourd’hui étudiées. Peut-on sortir des deux extrêmes que constituent la répression et la surveillance pour remettre la dignité humaine et la réhabilitation au centre des débats sur la justice ?

Peut-être avons-nous honte aujourd’hui de nos prisons. Le XIXe siècle, lui, était fier des forteresses qu’il construisait aux limites et parfois au cœur des villes. Elles figuraient toute une entreprise d’orthopédie sociale. Ceux qui volent, on les emprisonne ; ceux qui violent, on les emprisonne ; ceux qui tuent, également. D’où vient cette étrange pratique et le curieux projet d’enfermer pour redresser ? Un vieil héritage des cachots du Moyen Âge ? Plutôt une technologie nouvelle : la mise au point, du XVIe au XIXe siècle, de tout un ensemble de procédures pour quadriller, contrôler, mesurer, dresser les individus, les rendre à la fois « dociles et utiles ». Surveillance, exercices, manœuvres, notations, rangs et places, classements, examens, enregistrements, toute une manière d’assujettir les corps, de maîtriser les multiplicités humaines et de manipuler leurs forces s’est développée au cours des siècles classiques, dans les hôpitaux, à l’armée, dans les écoles, les collèges ou les ateliers : la discipline.

Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ? Michel Foucault

Penser les relations de pouvoir aujourd’hui ne peut se faire sans prendre en compte l’ouvrage de Michel Foucault, devenu aussi indispensable à notre époque que le « Léviathan » de Hobbes le fut à l’époque moderne

Un débat enregistré en 2015.

Pierre Joxe, ancien ministre et ancien premier président de la Cour des comptes, avocat à la Cour

Frédéric Gros, philosophe.

Evidence‐Based Practices in the Criminal Justice System

Prepared by the NIC Information Center
Date created January 2013, Updated August 2017

What Is the Evidence? Evidence‐based policy and practice is focused on reducing offender risk,
which in turn reduces new crime and improves public safety. Of the many available approaches to
community supervision, a few core principles stand out as proven risk reduction strategies. Though
not all of the principles are supported by the same weight of evidence, each has been proven to
influence positive behavior change. To organize the research, these core principles have been
compiled… into the 8 Principles of evidence‐based practice in corrections (Clawson & Guevara,
2010).

This bibliography is not a complete list of “EBP” citations, but a mere selection based on questions
we receive at the Information Center. Please feel free and even inclined to contact us with additions
to this bibliography, as we plan to continuously update it:  support@nicic.gov

https://s3.amazonaws.com/static.nicic.gov/Library/026917.pdf

https://nicic.gov/evidence-based-practices-criminal-justice-system-annotated-bibliography

ODARA (Ontario Domestic Assault Risk Assessment)

Un résumé des instructions de notation de l’ODARA est fourni ci-dessous à titre de référence. Le manuel ODARA se trouve dans Hilton, N.Z., Harris, G. T., 84 Rice, ME. (2010). Risk assment for domestically violent men : Tools for criminal justice, offender intention, and victim services. Washington, DC : American Psychological Association.

Résumé des items (Ne pas utiliser sans les instructions de codage)

Côter chaque item:

  • 1 si présent
  • 0 si non présent
  • ? si information manquante
 1. Antécédent de violence domestique enregistré dans un rapport de police ou inscrit au casier judiciaire
2. Antécédent de violence non domestique enregistré dans un rapport de police ou inscrit au casier judiciaire
3. Antécédent d’une peine de prison de 30j ou plus
4. Échec d’une précédente libération conditionnelle
5. Menaces de mort ou de blesser la victime retenues dans l’agression incriminée
6.  Séquestration de la victime dans l’agression incriminée
 7. Victime inquiète de futures agressions
8. Plus d’un enfant (de l’auteur ou de la victime)
9. Enfant biologique de la victime issu d’une union précédente
10. Antécédent de violence contre des victimes non conjugales
11. Deux indicateurs ou plus d’abus de substances
12. Agression incriminée alors que la victime était enceinte
13. Obstacles au soutien de la victime
Score brut (Somme des items côtés 1)
Score final

ODARA_feuille_cotation (traduction FR)

ODARA-Scoring-Form (english version)

L’Évaluation du risque de violence conjugale en Ontario (ODARA ; Hilton et coll., 2004) est une évaluation actuarielle à validation croisée conçue pour estimer le risque de récidive de violence conjugale. Elle comprend des facteurs de risque statiques et dynamiques. De plus, l’ODARA a été conçue pour être utilisée par les policiers afin d’améliorer la précision de l’évaluation du risque et la collaboration globale entre les organismes de justice pénale et les autres organismes intervenant dans les cas de violence conjugale. Bien que l’ODARA ait été conçue pour le système de justice pénale (agents de probation/de libération conditionnelle, agents correctionnels, agents de police, prestataires de services communautaires), d’autres professionnels que ceux de la « première ligne », comme les cliniciens légistes, peuvent utiliser cette mesure pour évaluer la violence conjugale.

Les qualifications de l’utilisateur nécessitent une formation minimale pour les évaluateurs/interprètes de l’ODARA. Les auteurs de l’ODARA ont organisé des séances de formation et rédigé un manuel de procédures afin d’offrir la formation nécessaire pour être un utilisateur compétent de l’ODARA.

L’ODARA comprend 13 questions à réponse positive ou négative évaluant des domaines tels que les antécédents de l’auteur en matière d’agressions domestiques, d’agressions non domestiques, de toxicomanie, de peine privative de liberté de 30 jours ou plus, de plus d’un enfant, etc. Ces informations sont recueillies à partir des casiers judiciaires officiels.

Chacun des 13 éléments est noté 1 (présent), 0 (non présent) ou ? (information manquante) et les scores additionnés donnent le score total de prédiction, qui va de 0 à 13.

Les scores de 0 indiquent le risque le plus faible ou la récidive

et les scores de 7-13 représentent la catégorie de risque la plus élevée.

Le nombre maximal d’éléments manquants pour la notation d’une ODARA valide est de cinq ; si cinq éléments ou plus manquent dans l’ODARA, celle-ci ne peut être notée (Hilton, Harris et Rice, 2010).

L’effet prédictif de l’ODARA dans l’échantillon de normalisation était de 0,77 (zone ROC) et le d de Cohen = 1,1 dans la construction de cette mesure et de 0,72 dans la validation croisée sur 100 nouveaux sujets (Hilton et al., 2004). En ce qui concerne la fiabilité inter-juges, les scores ont donné une erreur standard de mesure de 0,48 entre le groupe des assistants de recherche et le groupe des officiers de police (avec une formation minimale) (Hilton et al., 2004).

La cohérence interne de l’ODARA au sein de l’échantillon actuel était modérée, avec un coefficient alpha de Chronbach de 0,66.

lien

 

Domestic Violence Risk Appraisal Guide (DVRAG)

Le DVRAG est un outil d’évaluation actuariel des risques de violences domestiques de 14 éléments conçu pour identifier le niveau de risque posé par les auteurs masculins de violence conjugale (IPV- Inmate partners Violence) (Hilton et al. 2008).

Le DVRAG fait partie d’un système qui inclut l’Ontario Domestic assault Risk assessement (ODARA) (Hilton et al., 2004), une version plus courte de la DVRAG doit être utilisé par les agents de première ligne pour aider à la prise de décision, comme la sortie sous caution (Hilton et al., 2008).

D’autre part,le DVRAG fournit une évaluation plus complète (Hilton et al., 2010).

Le DVRAG comprend les 13 items de l’ODARA plus un score de la PCL-R (outil d’évaluation des personnalité à expression psychopathiques).

L’élaboration d’une mesure actuarielle pour évaluer le risque de violence conjugale, en particulier, a été largement inspiré par le succès du VRAG pour évaluer le risque de future attaque de paretanires fiminines dans les auteurs d’IPV (Hilton et al., 2001). En fait, il a été dénommé DVRAG pour refléter sa connexion avec le VRAG (Hilton et al. 2008) et il partage plusieurs points communs dans la façon de le côter avec ses prédécesseurs.

Par exemple, tous les instruments comprennent des mesures de l’histoire clinique et la PCL-R (Hilton et al., 2010). Le DVRAG a démontré sa capacité précoce à discriminer des groupes de délinquants à risque élevé et faible pendant la standardisation de l’outil.

(Hilton et al., 2010). Comme l’ont souligné Hilton et al. (2010), les éléments spécifiques incluent :

ITEMS de la DVRAG
(1) Nombre d’incidents antérieurs de violence domestique: Cet item couvre tous les précédents de cas d’agression physique par l’auteur contre une actuelle / précédente partenaire,  ou de ses enfants, avec qui il a cohabité. Les incidents doit avoir eu lieu à une date distincte de l’agression incriminée et doivent être enregistrés dans un rapport de police ou au casier judiciaire;
(2) Nombre d’incidents antérieurs non-domestiques: cela inclut les agressions physiques par l’agresseur contre des victimes autres que la partenaire actuelle ou les précédentes avec qui il a cohabité, ou de leurs enfants, qui ont eu lieu avant l’agression incriminée
(3) Précédente détention de 30 jours ou plus: L’item est comptabilisé si le délinquanta déjà été sanctionné et incarcéré pendant au moins 30 jours avant l’agression incriminée;
(4) Échec antérieur de la libération conditionnelle : Cet élément doit être noté « Non » si le le délinquant n’était pas en libération conditionnelle au moment de l’agression et /ou n’a pas d’antécédents de non-respect des conditions de libération conditionnelle;
(5) Menaces de blesser ou de tuer lors de l’agression incriminée: Cet item est noté si l’auteur a menacé de blesser à d’autres personnes sur l’agression incriminée. Il peut aussi être comptabilisé si l’auteur a déjà été accusé d’une infraction pour menace ou équivalent;
(6) Séquestration du partenaire lors de l’agression incriminée: Cet item doit être côté positivement si l’auteur a confiné la victime à une zone verrouillée, ou barricadée, ou a empêché physiquement la victime de partir pendant l’agression incriminée;
(7) Préoccupation de la victime: Cette variable devrait être côtée positivement si la victime féminine de l’agression incriminée a verbalement déclaré qu’elle était préoccupée, qu’elle avait peur, était inquiète, que l’auteur l’agresserait elle ou ses enfants à l’avenir;
(8) Nombre d’enfants: cela comprend le nombre d’enfants mineurs (vivants) ou d’enfants adultes ou les enfants adoptés de l’auteur, ainsi que les enfants supplémentaires de la victime;
(9) Les enfants biologiques de la victime d’un partenaire précédent: Cet item se rapporte à tous les enfants biologiques mineurs ou adultes de la femme victime de l’agression incriminée, dont le père n’est pas l’auteur. Les enfants adoptés ne doivent pas être inclus;
(10) La violence à l’égard d’autres personnes: Cet item est scoré si l’auteur de l’infraction a des précédents d’agression violentes non conjugales antérieures à l’agression incriminée . L’infraction n’a pas besoin d’être officiellement enregistré dans un rapport de police ou des documents du tribunal;
(11) Score d’abus de substance: cette variable est basée sur le nombre de facteurs présents qui indiquent des problèmes de toxicomanie;
(12) Agression contre une victime enceinte: cet élément est marqué indépendamment du fait que l’agression reportée ait été enregistré ou non dans un rapport de police;
(13) Nombre d’obstacles au soutien des victimes: cet item fait référence au nombre d’obstacles présents qui entravent l’accès de la victime aux services de d’aide.
(14) Score à la PCL-R (outil d’évaluation des personnalités à expression psychopathiques): comme dans les autres cas, un précédent score PCL-R (documenté) peut être utilisé s’il existe des informations insuffisantes disponibles.

L’évaluateur score le DVRAG selon une feuille de codage fournie.

Pour commencer, l’examinateur parcourt la liste des options possibles de cotation et selectionne en fonction des informations disponibles.

Les scores des items sont additionnés pour un aboutir à score total final.

L’étendu possible de scores sur le DVRAG varie de -10 à +46.

Le score total est traduit en utilisant un tableau fourni avec la mesure qui indique la probabilité de récidive de l’auteur.

Le score et la probabilité de récidive peuvent être utilisés pour des mesures de prévention et de protection, comme la détermination de l’intervention adéquate et des ressources nécessaires pour prévenir la violence future (Hilton et al., 2010).

Des scores plus élevés reflètent généralement un risque plus élévé, bien que le DVRAG ne peut pas réellement fournir des estimations quant à la probabilité d’agressions mortelles .

Cependant, la présence de facteurs supplémentaires peut indiquer un motif accru d’inquiétude, telle que l’utilisation d’armes à feu, la fin de la relation et / ou la victime ayant un nouveau partenaire (Hilton et al. 2010)

lien

Murder and Violence Research, Evidence from the « murder in britain » study, Pr rebecca Emerson Dobach & Pr Russel Dobasch

 

ÉVALUATION DU DANGER Jacquelyn C. Campbell, Ph. D., I.I. © École des sciences infirmières de l’Université Johns Hop

The Danger Assessment helps to determine the level of danger an abused woman has of being killed by her intimate partner. It is free and available to the public. Using the Danger Assessment requires the weighted scoring and interpretation that is provided after completing the training.

DAfrenchcanadian.pdf


Les Échelles des agressions sexuelles et des viols (Bumby, 1996) visent à évaluer les cognitions qui nourrissent respectivement la violence sexuelle à l’endroit des enfants (molest scale de Bumby) et les agressions sexuelles à l’endroit des femmes (rape scale de Bumby). Sur l’échelle des agressions sexuelles envers les enfants (38 éléments), les scores peuvent varier de 38 à 152. Sur l’échelle des viols (36 éléments), ils peuvent varier de 36 à 144. Plus les scores sont élevés, plus on dénombre de cognitions qui nourrissent les agressions sexuelles.

Les scores de cette échelle sont positivement corrélés au nombre de victime et au nombre d’abus perpétrés (Bumby 1996) .

echelle de bumby feuille cotation

Réponses :

1 : Totalement en désaccord 2 : En désaccord 3 : D’accord 4 : Totalement d’accord

Veuillez relire chaque question et placer un « X » au-dessus des réponses correspondant à ce que vous auriez répondu avant que d’autres personnes (famille, amis, policiers) connaissent vos comportements sexuels déviants.

QUESTIONS

1-2-3-4

1. Je crois que la sexualité avec les enfants peut amener l’enfant à se sentir plus proche des adultes.
2. Étant donné que certaines victimes disent à l’abuseur qu’elles se sentent bien quand il les touche, l’enfant y prend probablement plaisir et ne sera pas très affecté par cela.
3. Plusieurs enfants qui ont été abusés sexuellement n’éprouvent pas beaucoup de problèmes majeurs venant des abus.
4. Toucher un enfant sexuellement est parfois une façon de lui montrer de l’amour et de l’affection.
5. Parfois les enfants ne disent pas non aux activités sexuelles parce qu’ils sont curieux au sujet de la sexualité et qu’ils y prennent plaisir.
6. Quand les enfants ne disent pas qu’ils ont été impliqués dans des activités sexuelles avec un adulte, c’est probablement parce qu’ils ont aimé ça et que cela ne les a pas dérangés.
7. Avoir des pensées et des fantaisies sexuelles concernant un enfant n’est pas si mauvais que ça parce qu`au moins ça ne fait pas de mal à l’enfant.
8. Si une personne n’utilise pas la force pour avoir une activité sexuelle avec un enfant, ça ne fera pas autant de mal à l’enfant.
9. Certaines personnes ne sont pas des « vrais » abuseurs d’enfants – ils sont seulement hors contrôle et ils ont fait une erreur.
10. Faire seulement des attouchements à un enfant n’est pas aussi mal que de le pénétrer et cela n’affectera probablement pas autant l’enfant.
11. Certaines relations avec des enfants, qui incluent de la sexualité, ressemblent beaucoup aux relations qu’on peut avoir avec un adulte.
12. Les activités sexuelles avec un enfant peuvent aider l’enfant à apprendre au sujet de la sexualité.
13. Je crois que les abuseurs d’enfants reçoivent souvent des sentences plus longues que ce qu’ils devraient.
14. Les enfants qui se font abuser par plus d’une personne font probablement quelque chose pour attirer les adultes à eux.
15. La société voit les contacts sexuels avec les enfants d’une façon bien pire qu’ils ne le sont vraiment.
16. Parfois ce sont les abuseurs qui souffrent le plus, perdent le plus et sont le plus blessés suite à un abus sexuel avec un enfant. Ils sont plus blessés ou souffrent plus que l’enfant.
17. Il est mieux d’avoir des contacts sexuels avec son enfant que de tromper sa femme.
18. Dans plusieurs abus sexuels sur des enfants il n’y a pas de vraies manipulations ou menaces qui sont utilisées.
19 . Certains enfants aiment les contacts sexuels avec les adultes parce que cela les fait se sentir désirés et aimés.
20. Certains hommes ont abusé sexuellement d’enfants parce qu’ils croyaient vraiment que les enfants aimeraient comment ils allaient se sentir.
21. Certains enfants désirent vraiment avoir des activités sexuelles avec des adultes.
22. Pendant les contacts sexuels, certains hommes demandent à leurs victimes si elles aiment ça parce qu’ils veulent vraiment faire plaisir à l’enfant et qu’il se sente bien.
23. Les enfants qui ont été impliqués dans des contacts sexuels avec des adultes font finir par passer par-dessus ça et poursuivre normalement leur vie.
24. Certains enfants peuvent agir de façon séductrice.
25. Tenter de rester éloigné des enfants est probablement une façon suffisante pour un abuseur de s’empêcher d’abuser de nouveau.
26. Très souvent les abus sexuels sur les enfants ne sont pas planifiés, ils arrivent sans être prévus.
27. Plusieurs hommes abusent sexuellement d’enfants à cause du stress et parce qu’abuser les aidaient à se sentir moins stressés.
28. Il arrive souvent que les enfants inventent des histoires que quelqu’un les abuse parce qu’ils veulent avoir de l’attention.
29. Si une personne se dit que jamais elle n’abusera de nouveau, alors elle ne le refera probablement jamais.
30. Si un enfant regarde les organes génitaux d’un adulte, il est probablement intéressé à la sexualité.
31. Parfois ce sont les victimes qui débutent les activités sexuelles.
32. Certaines personnes se tournent vers les contacts sexuels avec des enfants parce qu’elles ont été privées de sexe par les femmes adultes.
33. Certains enfants sont beaucoup plus adultes que d’autres.
34. Les enfants qui vont dans la salle de bain quand un adulte est en train de se déshabiller ou est à la toilette font probablement ça juste pour essayer de voir les organes génitaux de l’adulte.
35. Les enfants peuvent donner aux adultes plus d’acceptation et d’amour que les autres adultes.
36. Certains hommes qui abusent sexuellement d’enfants n’aiment vraiment pas abuser d’enfant.
37. Je crois que la principale chose qui fait que les activités sexuelles avec les enfants ne peuvent pas être tolérées est que c’est contre la loi.
38. Si la plupart des abuseurs d’enfants n’avaient pas été eux- mêmes abusés sexuellement comme enfant, alors ils n’auraient probablement jamais abusé d’un enfant.
TOTAL=