Ressources en psychocriminologie, psychologie forensique et criminologie
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Evidence‐Based Practices in the Criminal Justice System

Prepared by the NIC Information Center
Date created January 2013, Updated August 2017

What Is the Evidence? Evidence‐based policy and practice is focused on reducing offender risk,
which in turn reduces new crime and improves public safety. Of the many available approaches to
community supervision, a few core principles stand out as proven risk reduction strategies. Though
not all of the principles are supported by the same weight of evidence, each has been proven to
influence positive behavior change. To organize the research, these core principles have been
compiled… into the 8 Principles of evidence‐based practice in corrections (Clawson & Guevara,
2010).

This bibliography is not a complete list of “EBP” citations, but a mere selection based on questions
we receive at the Information Center. Please feel free and even inclined to contact us with additions
to this bibliography, as we plan to continuously update it:  support@nicic.gov

https://s3.amazonaws.com/static.nicic.gov/Library/026917.pdf

https://nicic.gov/evidence-based-practices-criminal-justice-system-annotated-bibliography

L’analyste de carrière Dan Pink examine l »énigme de la motivation, en commençant par un fait que les spécialistes des sciences sociales savent, mais la plupart des gestionnaires ignorent: les récompenses ne sont pas toujours aussi efficaces que nous le pensons.

 

ODARA (Ontario Domestic Assault Risk Assessment)

Un résumé des instructions de notation de l’ODARA est fourni ci-dessous à titre de référence. Le manuel ODARA se trouve dans Hilton, N.Z., Harris, G. T., 84 Rice, ME. (2010). Risk assment for domestically violent men : Tools for criminal justice, offender intention, and victim services. Washington, DC : American Psychological Association.

Résumé des items (Ne pas utiliser sans les instructions de codage)

Côter chaque item:

  • 1 si présent
  • 0 si non présent
  • ? si information manquante
 1. Antécédent de violence domestique enregistré dans un rapport de police ou inscrit au casier judiciaire
2. Antécédent de violence non domestique enregistré dans un rapport de police ou inscrit au casier judiciaire
3. Antécédent d’une peine de prison de 30j ou plus
4. Échec d’une précédente libération conditionnelle
5. Menaces de mort ou de blesser la victime retenues dans l’agression incriminée
6.  Séquestration de la victime dans l’agression incriminée
 7. Victime inquiète de futures agressions
8. Plus d’un enfant (de l’auteur ou de la victime)
9. Enfant biologique de la victime issu d’une union précédente
10. Antécédent de violence contre des victimes non conjugales
11. Deux indicateurs ou plus d’abus de substances
12. Agression incriminée alors que la victime était enceinte
13. Obstacles au soutien de la victime
Score brut (Somme des items côtés 1)
Score final

ODARA_feuille_cotation (traduction FR)

ODARA-Scoring-Form (english version)

L’Évaluation du risque de violence conjugale en Ontario (ODARA ; Hilton et coll., 2004) est une évaluation actuarielle à validation croisée conçue pour estimer le risque de récidive de violence conjugale. Elle comprend des facteurs de risque statiques et dynamiques. De plus, l’ODARA a été conçue pour être utilisée par les policiers afin d’améliorer la précision de l’évaluation du risque et la collaboration globale entre les organismes de justice pénale et les autres organismes intervenant dans les cas de violence conjugale. Bien que l’ODARA ait été conçue pour le système de justice pénale (agents de probation/de libération conditionnelle, agents correctionnels, agents de police, prestataires de services communautaires), d’autres professionnels que ceux de la « première ligne », comme les cliniciens légistes, peuvent utiliser cette mesure pour évaluer la violence conjugale.

Les qualifications de l’utilisateur nécessitent une formation minimale pour les évaluateurs/interprètes de l’ODARA. Les auteurs de l’ODARA ont organisé des séances de formation et rédigé un manuel de procédures afin d’offrir la formation nécessaire pour être un utilisateur compétent de l’ODARA.

L’ODARA comprend 13 questions à réponse positive ou négative évaluant des domaines tels que les antécédents de l’auteur en matière d’agressions domestiques, d’agressions non domestiques, de toxicomanie, de peine privative de liberté de 30 jours ou plus, de plus d’un enfant, etc. Ces informations sont recueillies à partir des casiers judiciaires officiels.

Chacun des 13 éléments est noté 1 (présent), 0 (non présent) ou ? (information manquante) et les scores additionnés donnent le score total de prédiction, qui va de 0 à 13.

Les scores de 0 indiquent le risque le plus faible ou la récidive

et les scores de 7-13 représentent la catégorie de risque la plus élevée.

Le nombre maximal d’éléments manquants pour la notation d’une ODARA valide est de cinq ; si cinq éléments ou plus manquent dans l’ODARA, celle-ci ne peut être notée (Hilton, Harris et Rice, 2010).

L’effet prédictif de l’ODARA dans l’échantillon de normalisation était de 0,77 (zone ROC) et le d de Cohen = 1,1 dans la construction de cette mesure et de 0,72 dans la validation croisée sur 100 nouveaux sujets (Hilton et al., 2004). En ce qui concerne la fiabilité inter-juges, les scores ont donné une erreur standard de mesure de 0,48 entre le groupe des assistants de recherche et le groupe des officiers de police (avec une formation minimale) (Hilton et al., 2004).

La cohérence interne de l’ODARA au sein de l’échantillon actuel était modérée, avec un coefficient alpha de Chronbach de 0,66.

lien

 

Domestic Violence Risk Appraisal Guide (DVRAG)

Le DVRAG est un outil d’évaluation actuariel des risques de violences domestiques de 14 éléments conçu pour identifier le niveau de risque posé par les auteurs masculins de violence conjugale (IPV- Inmate partners Violence) (Hilton et al. 2008).

Le DVRAG fait partie d’un système qui inclut l’Ontario Domestic assault Risk assessement (ODARA) (Hilton et al., 2004), une version plus courte de la DVRAG doit être utilisé par les agents de première ligne pour aider à la prise de décision, comme la sortie sous caution (Hilton et al., 2008).

D’autre part,le DVRAG fournit une évaluation plus complète (Hilton et al., 2010).

Le DVRAG comprend les 13 items de l’ODARA plus un score de la PCL-R (outil d’évaluation des personnalité à expression psychopathiques).

L’élaboration d’une mesure actuarielle pour évaluer le risque de violence conjugale, en particulier, a été largement inspiré par le succès du VRAG pour évaluer le risque de future attaque de paretanires fiminines dans les auteurs d’IPV (Hilton et al., 2001). En fait, il a été dénommé DVRAG pour refléter sa connexion avec le VRAG (Hilton et al. 2008) et il partage plusieurs points communs dans la façon de le côter avec ses prédécesseurs.

Par exemple, tous les instruments comprennent des mesures de l’histoire clinique et la PCL-R (Hilton et al., 2010). Le DVRAG a démontré sa capacité précoce à discriminer des groupes de délinquants à risque élevé et faible pendant la standardisation de l’outil.

(Hilton et al., 2010). Comme l’ont souligné Hilton et al. (2010), les éléments spécifiques incluent :

ITEMS de la DVRAG
(1) Nombre d’incidents antérieurs de violence domestique: Cet item couvre tous les précédents de cas d’agression physique par l’auteur contre une actuelle / précédente partenaire,  ou de ses enfants, avec qui il a cohabité. Les incidents doit avoir eu lieu à une date distincte de l’agression incriminée et doivent être enregistrés dans un rapport de police ou au casier judiciaire;
(2) Nombre d’incidents antérieurs non-domestiques: cela inclut les agressions physiques par l’agresseur contre des victimes autres que la partenaire actuelle ou les précédentes avec qui il a cohabité, ou de leurs enfants, qui ont eu lieu avant l’agression incriminée
(3) Précédente détention de 30 jours ou plus: L’item est comptabilisé si le délinquanta déjà été sanctionné et incarcéré pendant au moins 30 jours avant l’agression incriminée;
(4) Échec antérieur de la libération conditionnelle : Cet élément doit être noté « Non » si le le délinquant n’était pas en libération conditionnelle au moment de l’agression et /ou n’a pas d’antécédents de non-respect des conditions de libération conditionnelle;
(5) Menaces de blesser ou de tuer lors de l’agression incriminée: Cet item est noté si l’auteur a menacé de blesser à d’autres personnes sur l’agression incriminée. Il peut aussi être comptabilisé si l’auteur a déjà été accusé d’une infraction pour menace ou équivalent;
(6) Séquestration du partenaire lors de l’agression incriminée: Cet item doit être côté positivement si l’auteur a confiné la victime à une zone verrouillée, ou barricadée, ou a empêché physiquement la victime de partir pendant l’agression incriminée;
(7) Préoccupation de la victime: Cette variable devrait être côtée positivement si la victime féminine de l’agression incriminée a verbalement déclaré qu’elle était préoccupée, qu’elle avait peur, était inquiète, que l’auteur l’agresserait elle ou ses enfants à l’avenir;
(8) Nombre d’enfants: cela comprend le nombre d’enfants mineurs (vivants) ou d’enfants adultes ou les enfants adoptés de l’auteur, ainsi que les enfants supplémentaires de la victime;
(9) Les enfants biologiques de la victime d’un partenaire précédent: Cet item se rapporte à tous les enfants biologiques mineurs ou adultes de la femme victime de l’agression incriminée, dont le père n’est pas l’auteur. Les enfants adoptés ne doivent pas être inclus;
(10) La violence à l’égard d’autres personnes: Cet item est scoré si l’auteur de l’infraction a des précédents d’agression violentes non conjugales antérieures à l’agression incriminée . L’infraction n’a pas besoin d’être officiellement enregistré dans un rapport de police ou des documents du tribunal;
(11) Score d’abus de substance: cette variable est basée sur le nombre de facteurs présents qui indiquent des problèmes de toxicomanie;
(12) Agression contre une victime enceinte: cet élément est marqué indépendamment du fait que l’agression reportée ait été enregistré ou non dans un rapport de police;
(13) Nombre d’obstacles au soutien des victimes: cet item fait référence au nombre d’obstacles présents qui entravent l’accès de la victime aux services de d’aide.
(14) Score à la PCL-R (outil d’évaluation des personnalités à expression psychopathiques): comme dans les autres cas, un précédent score PCL-R (documenté) peut être utilisé s’il existe des informations insuffisantes disponibles.

L’évaluateur score le DVRAG selon une feuille de codage fournie.

Pour commencer, l’examinateur parcourt la liste des options possibles de cotation et selectionne en fonction des informations disponibles.

Les scores des items sont additionnés pour un aboutir à score total final.

L’étendu possible de scores sur le DVRAG varie de -10 à +46.

Le score total est traduit en utilisant un tableau fourni avec la mesure qui indique la probabilité de récidive de l’auteur.

Le score et la probabilité de récidive peuvent être utilisés pour des mesures de prévention et de protection, comme la détermination de l’intervention adéquate et des ressources nécessaires pour prévenir la violence future (Hilton et al., 2010).

Des scores plus élevés reflètent généralement un risque plus élévé, bien que le DVRAG ne peut pas réellement fournir des estimations quant à la probabilité d’agressions mortelles .

Cependant, la présence de facteurs supplémentaires peut indiquer un motif accru d’inquiétude, telle que l’utilisation d’armes à feu, la fin de la relation et / ou la victime ayant un nouveau partenaire (Hilton et al. 2010)

lien

Murder and Violence Research, Evidence from the « murder in britain » study, Pr rebecca Emerson Dobach & Pr Russel Dobasch

 

ÉVALUATION DU DANGER Jacquelyn C. Campbell, Ph. D., I.I. © École des sciences infirmières de l’Université Johns Hop

The Danger Assessment helps to determine the level of danger an abused woman has of being killed by her intimate partner. It is free and available to the public. Using the Danger Assessment requires the weighted scoring and interpretation that is provided after completing the training.

DAfrenchcanadian.pdf


Sex Offender Acceptance of Responsibility Scales (SOARS; Peacock, 2000)

La SOARS (Peacock, 2000) vise à évaluer dans quelle mesure le délinquant accepte la responsabilité de ses infractions sexuelles. Les scores varient de 0 à 32 pour la sous-échelle Acceptation de l’infraction sexuelle (8 éléments); de 0 à 24 pour la sous-échelle Justifications de l’infraction sexuelle (6 éléments); de 0 à 32 pour la sous-échelle Acceptation de la planification de l’infraction (8 éléments); de 0 à 32 pour la sous-échelle Acceptation des intérêts sexuels (8 éléments); de 0 à 32 pour la sous-échelle Acceptation de la souffrance provoquée sur la victime (8 éléments); de 0 à 32 pour la sous-échelle Motivation à changer (8 éléments). Plus les scores sont élevés, plus le délinquant accepte la responsabilité de ses actes.

La mesure a une cohérence interne moyenne à bonne, une bonne validité convergente et une fiabilité test-retest, et n’était pas liée à une réponse socialement souhaitable dans l’étude de validation (Peacock, 2000).Peacock, E. J. (2000, November). Measuring readiness for sex offender treatment. Paper presented at the Annual Research and Treatment Conference of the Association for the Treatment of Sexual Abusers, San Diego, CA

SOARS & RSOARS_FR

Instructions

Encerclez le chiffre qui correspond à votre opinion sur chaque affirmation.

0= Entièrement en désaccord

1= Légèrement d’accord

2= Passablement d’accord

3= Plutôt d’accord

4= Entièrement d’accord

1. Je veux en apprendre davantage sur la maîtrise de mon comportement sexuel.

0-1-2-3-4

2. Par le passé, mon comportement sexuel m’a poussé à enfreindre la loi.

0-1-2-3-4

3. J’ai causé beaucoup de tort aux victimes des infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

4. J’ai commis des infractions sexuelles parce que je me sentais mal dans ma peau.

0-1-2-3-4

5. Je n’ai certainement jamais prévu commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

6. C’est moi la vraie victime de la situation actuelle.

0-1-2-3-4

7. Je sais déjà que je ne commettrai jamais une autre infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

8. Avant de passer aux actes, j’avais déjà pensé commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

9. Je n’aurais pas commis une infraction sexuelle si je n’avais pas été si en colère à ce moment-là.

0-1-2-3-4

10. Je dois reconnaître que j’ai commis une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

11. Je peux régler mes problèmes moi-même.

0-1-2-3-4

12. Les infractions sexuelles que j’ai commises ont vraiment perturbé mes victimes.

0-1-2-3-4

13. Je me surprends parfois à penser au sexe.

0-1-2-3-4

14. J’avais des pensées ou des fantasmes sexuels qui m’ont poussé à commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

15. J’ai commis une infraction sexuelle parce que j’étais très malade à ce moment-là.

0-1-2-3-4

16. Mon infraction sexuelle n’était pas préméditée.

0-1-2-3-4

17. Je sais que je n’ai commis aucune infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

18. Habituellement, les victimes d’infractions sexuelles exagèrent le récit de leur agression pour empirer la situation du délinquant.

0-1-2-3-4

19. Je pense qu’il me reste des choses à apprendre sur la maîtrise de mon comportement sexuel.

0-1-2-3-4

20. Regarder quelqu’un se déshabiller pourrait m’exciter.

0-1-2-3-4

21. J’ai commis une infraction sexuelle parce que personne n’a pris mes problèmes au sérieux.

0-1-2-3-4

22. Honnêtement, je ne crois pas être un délinquant sexuel.

0-1-2-3-4

23. Les victimes des infractions sexuelles que j’ai commises s’en sont remises rapidement.

0-1-2-3-4

24. Je peux devenir excité en pensant au sexe.

0-1-2-3-4

25. Ce n’est pas comme si je voulais commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

26. Si les faits avaient été relatés correctement, je n’aurais pas été accusé d’avoir commis une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

27. Je ne sais vraiment pas si j’ai un problème d’ordre sexuel à régler.

0-1-2-3-4

28. Je suis responsable du fait que mes victimes ont éprouvé de nombreux problèmes en raison des infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

29. Je ne pourrais jamais devenir excité sexuellement rien qu’à penser à quelqu’un d’attirant.

0-1-2-3-4

30. J’ai commis une infraction sexuelle parce que quelqu’un m’a excité.

0-1-2-3-4

31. Je sais que mon comportement sexuel n’est pas normal.

0-1-2-3-4

32. Parfois j’ai de la difficulté à gérer mes problèmes, mais je fais des efforts.

0-1-2-3-4

33. Je ne pourrais jamais devenir excité sexuellement en voyant une photo d’une personne nue.

0-1-2-3-4

34. Je fais en sorte qu’il soit possible pour moi de commettre des infractions sexuelles.

0-1-2-3-4

35. J’ai commis une infraction sexuelle parce que quelqu’un m’a mis en colère.

0-1-2-3-4

36. Les infractions sexuelles que j’ai commises n’ont pas fait de mal à personne.

0-1-2-3-4

37. Avant de passer aux actes, je n’avais jamais pensé à commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

38. J’ai imaginé comment ce serait d’avoir des relations sexuelles avec quelqu’un.

0-1-2-3-4

39. J’ai commis des infractions sexuelles parce que je consommais de l’alcool ou des drogues à ce moment-là.

0-1-2-3-4

40. Je sais déjà tout ce que je dois faire pour faire en sorte de ne plus jamais commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

41. Mon comportement sexuel n’a pas fait mal aux victimes des infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

42. J’ai un problème de comportement sexuel, et j’ai encore besoin d’aide pour le régler.

0-1-2-3-4

43. Je ne pourrais jamais devenir excité sexuellement en regardant un film.

0-1-2-3-4

44. J’étais totalement incapable de me maîtriser lorsque j’ai commis les infractions sexuelles.

0-1-2-3-4

45. Je sais que je suis un délinquant sexuel.

0-1-2-3-4

46. Lorsque je rencontre quelqu’un de mon goût, je ne pense pas à avoir des relations sexuelles avec lui/elle.

0-1-2-3-4

47. Avant de commettre une infraction sexuelle, j’avais des pensées ou des fantasmes à cet effet.

0-1-2-3-4

48. J’ai commis une infraction sexuelle parce que je ne pouvais pas composer avec mes problèmes.

0-1-2-3-4

49. Mon comportement sexuel n’a jamais nui à personne d’autre que moi.

0-1-2-3-4

50. Je n’aurais pas commis d’infractions sexuelles si les victimes avaient agi différemment.

0-1-2-3-4

51. Les infractions sexuelles que j’ai commises ont causé de nombreux problèmes à mes victimes.

0-1-2-3-4

52. Selon la loi, j’ai commis une infraction sexuelle, mais d’où je viens, ce genre de comportement est commun.

0-1-2-3-4

53. Mes victimes sont à blâmer en partie pour les infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

 

 

R-SOARS

version révisée (10 items) du Sex Offender Acceptance of Responsibility Scales

Instructions

Encerclez le chiffre qui correspond à votre opinion sur chaque affirmation.

0= Entièrement en désaccord

1= Légèrement d’accord

2= Passablement d’accord

3= Plutôt d’accord

4= Entièrement d’accord

1. J’ai causé beaucoup de tort aux victimes des infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

2. Les infractions sexuelles que j’ai commises ont vraiment perturbé mes victimes.

0-1-2-3-4

3. Les victimes des infractions sexuelles que j’ai commises s’en sont remises rapidement.

0-1-2-3-4

4. Je suis responsable du fait que mes victimes ont éprouvé de nombreux problèmes en raison des infractions sexuelles que j’ai commises.

0-1-2-3-4

5. Je sais que je suis un délinquant sexuel.

0-1-2-3-4

6. Les infractions sexuelles que j’ai commises ont causé de nombreux problèmes à mes victimes.

0-1-2-3-4

7. Avant de passer aux actes, j’avais déjà pensé commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

8. J’avais des pensées ou des fantasmes sexuels qui m’ont poussé à commettre une infraction sexuelle.

0-1-2-3-4

9. Je fais en sorte qu’il soit possible pour moi de commettre des infractions sexuelles.

0-1-2-3-4

10. Avant de commettre une infraction sexuelle, j’avais des pensées ou des fantasmes à cet effet.

0-1-2-3-4